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17 Fév 2011

Hébergement de DNS pour un .42

Posté par Wilkins. Aucun commentaire

Comme vous l’avez peut-être remarqué avec mes derniers articles, je suis très partisan de la diffusion des noms de domaines en .42.

Alors qu’il y a désormais plusieurs milliers de noms de domaines en .42 enregistrés, beaucoup sont malheureusement désespérément vide de site web.

Ce qu’on peut faire pour aider…

Qu’est ce qu’on peut faire pour aider à ce qu’il y ait plus de sites web en .42 ?
Et bien si vous avez un serveur DNS (comme bind par exemple), vous pouvez gérer les noms de domaines d’autres, qui eux n’ont pas de serveur DNS à disposition, mais qui ont un .42 enregistré.

C’est mon cas, et je pense donc pouvoir aider à héberger des domaines dans ma configuration Bind.

Attention mon but n’est pas d’offrir de l’hébergement web, mais seulement de l’hébergement de zone DNS. En gros je serai le panneau indicateur qui dira aux visiteurs : le site monsite.42 est chez cet hébergeur qui est chez vous ou chez un hébergeur classique (ex: OVH).

Concrètement comment ça marche ?

Pour faire bref, voici ce qu’il y aurait à faire :

  • Me contacter évidemment. Par e-mail, commentaire etc.
  • Déclarer auprès de 42registry, ma machine comme serveur DNS primaire/secondaire
  • Vous configurer votre serveur web (Ex: ajout d’un VirtualHost pour monsite.42 dans votre serveur Apache)
  • De mon côté je rajoute votre zone DNS de ce type dans mon serveur Bind :
$ORIGIN site.42.
$TTL 1D
@ IN SOA ns.site.42.  root.site.42. (
 2010122702 ; Serial
 1H        ; Refresh
 1H         ; Retry
 2W         ; Expire
 1D )       ; Negative Cache TTL

@          IN NS ns.site.42.
@          IN      MX      10 mx.site.42.
@          IN      A       <votre ip>
*          IN      A       <votre ip>

Bien sûr, l’idéal serait qu’il y a peu de sous-domaines à maintenir pour éviter une trop grande maintenance de mon côté, et bien sûr je me réserve le droit de refuser d’héberger un domaine donné.

Si vous êtes intéressé, contactez-moi !

Voir aussi

16 Fév 2011

C’est quoi la neutralité du net ?

Posté par Wilkins. Aucun commentaire

On parle de plus en plus de la neutralité du net, y compris parmi les députés, notamment Christian Paul via sa proposition de loi (voir l’article de PCInpact sur cette proposition pour avoir le contexte).

Mais il s’agit d’une notion pas forcément facile à expliquer, particulièrement pour des non-techniciens… mais étant donné que je parle de plus en plus sur ce blog, je vais essayer.

Définition

La neutralité du net ou neutralité du transport, notamment définie par le code des postes et communications, impose que les procédés de télécommunications soient neutres vis à vis des données qu’ils transportent.

Ainsi, les transporteurs des postes et télécommunications n’ont pas le droit de vérifier le contenu des colis/lettres/messages, et encore moins d’en modifier le contenu, ou d’en modifier la destination. Ils n’ont qu’à vérifier que la personne à le droit d’envoyer (lettre timbrée, accès internet valide), et de l’envoyer au destinataire… et c’est tout.
C’est valable pour les lettres (La Poste), les colis (Chronopost, TNT, Fedex, UPS), pour la téléphonie fixe (Orange) et mobile (Orange, Bouygues, SFR, Free, MVNO), mais également pour les fournisseurs d’accès au réseau Internet (Orange, SFR, Free, Numéricable, Bouygues etc).

En pratique

Autant ça paraît évident et clair pour tout le monde que La Poste n’a pas le droit de regarder autre chose que la destinataire de ma lettre pour l’envoyer, pour ce qui est du réseau Internet, c’est beaucoup moins simple à comprendre. Pourquoi ?

En pratique actuellement, peu d’entre vous/nous ont accès à Internet dans sa totalité. Sur l’affiche de votre FAI (y compris FAI mobile), on vous a dit « Vous aurez accès à Internet, en illimité ». Et ça c’est cool. Sauf que ce n’est pas tout à fait vrai. Exemples :

  • Si vous êtes chez Orange, vous ne pouvez pas envoyer des e-mails autrement qu’en passant par les serveurs e-mails d’Orange. Pour Mme Michu, ça suffit dans 90% des cas. Si vous avez d’autres besoins, c’est dommage pour vous. Si vous vouliez configurer vous même votre serveur e-mail : impossible. Vous devez passer par Orange, et donc subir les filtres d’Orange qui potentiellement peuvent vous refuser l’envoi ou simplement être en panne.
  • Si vous avez un forfait mobile, on vous vend de « l’Internet illimité ». En fait, vous n’avez accès que au web, et aux e-mails.
    • Vous voulez chatter sur un serveur IRC ? Impossible
    • Vous voulez récupérer des données sur un serveur FTP ? Impossible
    • Vous voulez vous connecter à un annuaire LDAP sécurisé pour synchoniser vos contacts ? Impossible
    • Vous voulez écouter votre webradio Fréquence 3 sur le port 9000 ? Impossible
    • Vous voulez utiliser Skype pour dialoguer à plusieurs avec amis sans que ça compte dans votre forfait ? Impossible

    Pour avoir « Internet en illimité » il faudrait déjà avoir accès à « Internet » dans sa totalité. Ce n’est pas le cas. Pourquoi ?

  • Si vous aviez un forfait mobile connecté à Internet pour de vrai, vous pourriez vous connectez depuis chez vous à votre téléphone. Quel intérêt me diriez-vous ? Plein. Quelques exemples :
    • Pouvoir parcourir les photos que vous avez enregistrer dans votre téléphone depuis le site web de votre téléphone
    • Pouvoir faire de la vidéo conférence avec votre téléphone qui fait caméra, pour diffuser ce qui se passe autour de vous en temps réel.
    • Pouvoir faire de la téléconférence audio à plusieurs, avec plusieurs personnes qui se connectent à votre téléphone pour dialoguer avec vous.

    Bref, des applications nouvelles, non encore permises car filtrées par votre fournisseur d’accès mobile.

Le risque

Vous vous dites : « Oui, bah on a pas ces trucs là, mais au final on en a pas besoin, donc c’est pas bien grave. Et si on les avait ça coûterait encore plus cher ». Alors non ça ne coûterait pas plus cher si la loi était respectée, puisqu’ils ne sont pas sensés vérifier ce qui passe dans leurs tuyaux, ils sont sensés respecter une neutralité vis-à-vis du contenu qu’ils transportent. Il ne pourraient donc pas dire « Ah, vous avez été sur Skype aujourd’hui, ça va vous coûter plus cher ».

Pour l’instant, ils sont en train de nous habituer, et de vous habituer à n’avoir besoin que du web et du mail. Mais Internet c’est bien plus. Et c’est justement parce que c’est plus que 5 sites web qu’il y a un risque.

Quel risque ? Le risque c’est qu’ils nous habitue à cette limitation, au point qu’on ne se rendent pas compte qu’ils modifient les lois.

C’est notamment pour cela qu’il y a eu fin 2010 une consultation européenne sur la neutralité du net, à laquelle j’ai d’ailleurs répondu.

Les lobbies qui tentent de modifier la loi qui leur impose cette neutralité, par un jeu de vocabulaire. Ils veulent que soit utilisé le terme de « Open Internet » à la place de « Net neutrality ». Bah ça a l’air satisfaisant comme terme non ? « Open Internet » -> « Internet ouvert » c’est l’esprit qu’on recherche non ? Et ben non.Exemple de ce que serait un internet non neutre

En fait pour eux « Open Internet » ça veut dire, un Internet où tout est permis, une jungle, où ils peuvent faire ce qu’ils veulent, régulé par la loi du marché. Bon déjà, ça sent pas bon. Qu’est ce qui pourrait se passer ?

Le risque c’est de voir des offres d’accès à Internet non-neutres de ce type (voir image cliquable à droite)

Et donc, sachant que vous étiez habitué à n’avoir jamais accès à rien, obtenir l’accès pour 5€ de plus par mois, finalement ça ne vous choquera pas plus que ça.

Un autre exemple de ce que pourrait être un Internet non neutre sur The Open Internet.

Une fois ces modes de diffusion mis en place, SFR pourra très bien vous dire : « Dites donc, votre blog qui commence à très bien marcher, et à avoir 10 000 visites par jour. Ça serait bien que vous payiez 500€ par mois, pour que les clients SFR puissent l’avoir par défaut dans notre formule, sinon on vous le met dans l’offre « Blog » que le client devra payer 5€/mois  ». Sympa.

La neutralité du net c’est important car désormais la plupart de l’information qui transite autour de vous passe par le réseau Internet : e-mails, conversation téléphoniques, chat, blogging, lecture politique ou de loisir, visionnage de vidéo, recherche d’information encyclopédique… tout passe par Internet. Ces informations ne doivent pas être monopolisées par 5 ou 10 sociétés qui vous vendent des tuyaux.

Voir aussi

3 Fév 2011

Lettre ouverte à Iliad pour l’ajout du TLD .42 aux DNS de Free / Alice

Posté par Wilkins. Aucun commentaire

Bonjour MM. Niel, Lombardini, et mesdames, mesdemoiselles et messieurs décideurs, techniques ou non de chez Free / Iliad.

Je suis un fidèle utilisateur de Free.

J’ai très tôt été séduit par les innovations techniques et promotionnelles chez Free :

  • L’hébergement avec base MySQL, et 100mega d’espace disque et sans pub à l’époque ou 20mega avec pub était la norme
  • L’accès à un compte IMAP pour son compte email
  • L’arrivée de la Freebox, et de son tarif à 29,90€ mettant les concurrents à terre
  • De la téléphonie illimité vers X pays
  • L’augmentation du débit dès que c’est possible, toujours au même tarif, pour arriver aujourd’hui à 20 Mega

Et plus récemment :

  • La volonté de créer un 4ème opérateur téléphonique 3G, et la tenacité qui va avec
  • Le déploiement de la multifibre (bien qu’encore trop lent à mon goût)
  • La Freebox révolution avec les appels illimités vers les mobiles, le blu-ray, la console de jeu etc

D’autres part, Free est de ce que je peux voir, le fournisseur le plus apprécié des techniciens, et ce pour plusieurs raisons :

  • parce qu’il n’est pas pollué par les dizaines d’offres promo de noël, d’été, ou de « c’est le rentrée , et ou t’assassines après les 3 mois d’offre d’essai
  • un rapport qualité/prix bien au dessus des autres
  • parce qu’en général, on peut globalement faire ce qu’on veut avec sa Freebox, si on en a envie : configuration du routeur, gestion du wifi qui-juste-marche, possibilité d’avoir plusieurs machines derrière sa box, port 25 configurable etc

En tant que Freenaute de longue date, j’en appelle donc à vous de chez Free.

Vous qui innovez.
Vous qui n’attendez pas de suivre un truc qui marche pour vous lancer.
Vous qui êtes à la pointe technique.
Vous qui aimez bien mettre un coup de pied dans la fourmilière pour renverser l’ordre bien en place.
Pourquoi n’avez toujours pas incorporé le TLD .42 dans les Freebox, ou mieux dans les DNS officiels de Free et d’Alice ?

En effet, cela fait maintenant plusieurs mois que l’annonce du TLD .42 a été connue auprès du grand public technique, plus de 2000 domaines ont été créés dont des centaines hébergent déjà un site.
Cette initiative n’a besoin que d’une chose pour se répandre : l’aide des FAI et de leurs serveurs DNS pour répandre les adresses en .42 partout.

Je souhaiterai que Free ajoute officiellement la gestion du TLD .42 à ses serveurs DNS, afin d’initier le mouvement. Bouygues l’a partiellement fait avec sa Bbox, mais il ne s’agit visiblement pas d’une position officielle.

Je vais également envoyer cette demande par e-mail à hostmaster sur proxad.net.

Le contenu de cet article est placé sous licence Creative Comons share-alike, vous pouvez donc  réutiliser ton contenu, et je vous invite tous (freenaute ou non), à interpeler votre fournisseur d’accès pour qu’il ajoute le TLD .42 à ses serveurs DNS.

Voir aussi :

1 Jan 2011

Vocabulaire et notions à rappeler en informatique

Posté par Wilkins. Aucun commentaire

Alors, en ce début d’année, au lieu de sortir le guide de l’académie française pour inciter à l’utilisation des mots ramdam, courriel et infolettre, je vous propose un petit guide des termes corrects à utiliser en informatique.

Pourquoi ce guide ?

Tout d’abord parce que l’abus de langage est toujours néfaste pour la compréhension de ce qu’on fait. Ensuite parce que ces termes sont souvent utilisés en faveur d’une marque. Par exemple, on ne doit pas dire un « Caddie » mais un « chariot », ni un « Abribus », mais une « aubette » etc.

Ce qu’on ne doit pas dire

Navigateur internet : Il convient mieux d’utiliser le terme de navigateur web. En effet, en général les navigateurs sont uniquement des navigateurs web. Ils ne servent qu’à surfer sur la toile, c’est à dire uniquement le protocole HTTP. Certains permettent aussi d’accéder au protocole FTP, mais cela ne reste qu’une utilisation marginale, et une énorme partie d’Internet n’est pas accessible avec nos navigateurs.

C’est un Excel : c’est souvent un abus de langage pour identifier un fichier de type tableur. En effet, le principe du tableur existait bien avant Microsoft Excel et existera probablement bien après. Les fichiers tableur peuvent également être au format OpenOffice.org, LibreOffice ou Lotus 1,2,3 par exemple. Le fait de rappeler que le tableur est un format et non pas l’invention de Microsoft Excel, permet de comprendre la différence entre un type de fichier et un logiciel.

C’est un Word : pour la même raison, il convient d’utiliser le terme de traitement de texte. Il existe de nombreux logiciels de traitement de texte, y compris sous Microsoft Windows : Wordpad, OpenOffice, LibreOffice, Lotus Notes

Logiciel propriétaire : il convient d’utiliser « logiciel privateur« . En effet, le terme « privateur », permet de rappeler à ses utilisateurs la liberté qu’il n’a pas. Que ce soit la liberté d’utiliser, de modifier, de copier ou de diffuser le logiciel en question. Ce terme utilisé par Richard Stallman et Benjamin Bayart qui appellent régulièrement à l’utilisation d’un bon vocabulaire pour appréhender les bonnes notions.

Open-source : il convient mieux d’utiliser le terme « Logiciel libre« . C’est encore Richard Stallman qui le préconise. En fait le terme « open-source » ne précise que l’ouverture du code, tandis que le terme « logiciel libre » rappelle toutes les libertés y compris celle de l’accès au code, mais également celle de modifier le code, de le copier, de le distribuer, et de l’utiliser pour l’usage que l’on souhaite.

Enfin dans le même genre, mais pas du tout dans le même domaine, j’ai appris récemment par Jean-Pierre Berlan via la conférence « De la préservation de bien communs et de la loi ACTA« , qu’il ne faut pas utiliser le terme de « Organisme Génétiquement Modifié » ou OGM (terme inventé par l’entreprise Monsanto) mais il vaut mieux utiliser le terme « Clone pesticide brevetée« . Car ce n’est pas tant le fait qu’il soit génétiquement modifié qui soit le plus gênant, mais le fait qu’il soit breveté et donc qu’il ne soit pas possible de reproduire la plante ou l’animal sans autorisation; ainsi que le fait qu’il inclut très souvent des pesticides nocifs pour l’homme.

Ce qu’il faut sans cesse rappeler

En général, quand j’ai l’occasion ou l’obligation d’avoir à utiliser des fichiers de type tableur au format Excel, j’essaie de toujours utiliser le nom officiel du logiciel c’est à dire : Microsoft Excel. Idem pour Microsoft Word ou Microsoft Windows.
Il est important de rappeler aux utilisateurs de ces logiciels qu’il s’agit de logiciels Microsoft, que c’est une marque d’une entreprise, et non pas le seul logiciel de ce type. Mais c’est celui de cette marque.

J’essaie aussi régulièrement de rappeler aux gens qui utilisent Microsoft Excel, Word, PowerPoint mais aussi Photoshop, que ces logiciels sont payants, et que s’il les trouvent si géniaux, ils devraient les payer. Car on sait tous que la plupart ne les paye pas.

À titre personnel je n’utilise pas ces logiciels, mais je peux comprendre que pour des raisons pratiques ou de « on a toujours fait comme ça » on souhaite les utiliser. Mais la moindre des choses est de les payer. Une fois qu’on a payé 100 € pour se payer la suite Microsoft Office, le regard qu’on a quant à l’efficacité de cette suite, à ce qu’elle permet de faire ou de ne pas faire et à ce qu’elle offre de mieux par rapport à la suite OpenOffice ou LibreOffice est alors complètement différent.

Conclusion

Inciter les gens à réfléchir à ce qu’ils font, et éduquer les gens à tous ces aspects de l’informatique qu’ils oublient trop souvent est la clé de la résolution de nombreux problèmes qui se posent actuellement : Neutralité du net, brevets logiciels, verrous numériques etc.

Vous aussi, propagez la bonne parole 🙂

http://reminder.cybercartes.com/card_5/20101227/a8142ba47ebc75d9522b

27 Déc 2010

DNS – L’expérience 42

Posté par Wilkins. Aucun commentaire

Petit billet rapide sur l’expérience 42.

Depuis plusieurs semaines a été lancée une initiative du monde du libre nommée « L’expérience 42 ». Il s’agit de la création d’un TLD. C’est à dire une nouvelle extension de nom de domaine en .42. Permettant donc de créer des domaines comme truc.42, machin.42 et bidule.42.

L’expérience 42 souhaite créer une galaxie de sites à but non lucratif ou associatif.

Mais comme il s’agit d’une initiative du monde du libre, et donc non officiellement soutenue par l’ICANN, cette extension n’est donc pas reconnue par défaut par vos navigateurs, car non reconnue par vos fournisseurs d’accès à Internet.

D’ailleurs cette initiative n’a pas pour but d’être reconnue officiellement ni soutenue par l’ICANN, puisque elle veut justement mettre en lumière le monopole décisionnaire de l’ICANN, et l’expérience 42 veut donc essayer de se soustraire de cette hierarchie pyramidale.

Cette initiative fait suite aux différents événements qui se sont produits relativement aux serveurs DNS, dont je parlais d’ailleurs dans mon billet : « Créer une autre hierarchie DNS ?« .

Afin de soutenir l’initiative, dont vous trouverez la charte sur 42registry.org, j’ai enregistré le nom de domaine wilkins.42, et ce blog est donc également accessible via ce nouveau nom de domaine.
J’en appelle d’ailleurs aux autres volontaires qui ont enregistré leur domaine, de créer le site web qui va derrière afin de disséminer les URLs.

Vous trouverez plus d’informations là-dessus sur les articles suivants :